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L’incroyable déflagration d’AC/DC au Stade de France, racontée de l’intérieur

Une nuit électrisante à Paris

Le 9 août, un événement mémorable s’est déroulé sous un ciel chargé d’électricité au **Stade de France**. **AC/DC**, l’un des groupes de rock les plus emblématiques au monde, a illuminé Paris avec un concert qui restera gravé dans les mémoires. Près de **80 000 spectateurs**, allant des amateurs de rock chevronnés aux jeunes partisans initiés par leurs parents, se sont réunis pour vivre un spectacle grandiose.

Un show millimétré

Le concert a été décrit par les médias comme **« grandiose »**, **« magistral »**, et un moment où le groupe était **« au sommet de leur art »**. Les critiques qualifient la performance d’AC/DC de **spectaculaire**, marquant son retour triomphal à Paris avec plus de deux heures de rock brut. Les **superlatifs** ont fusé, soulignant la maîtrise et la passion qui émanaient de la scène, sans aucune once de retard dans la mise en scène.

Un début tonitruant

La soirée a commencé avec une **intro vidéo** saisissante, mettant en scène un bolide rouge fonçant vers Paris avant que le groupe n’émerge sur scène. Le légendaire **Angus Young**, reconnaissable à sa **casquette bleue et son costume rouge**, a attaqué d’emblée avec le morceau emblématique **If You Want Blood (Youve Got It)**. Ce démarrage a mis le feu aux poudres, entraînant la foule dans une frénésie collective dès les premières notes.

Brian Johnson : un vocaliste au sommet

À 77 ans, le charismatique **Brian Johnson** a prouvé qu’il n’avait rien à envier à sa jeunesse. La performance de l’artiste a été qualifiée de **« meilleure quil y a dix ans »**, et son énergie a su galvaniser le public. Les riffs puissants de la guitare d’Angus Young se mêlaient à la voix tonitruante de Johnson, créant une alchimie parfaite et inoubliable au cœur de chaque chanson.

Une orchestration sans faille

Les médias ont souligné le caractère **impeccable** du show. Voici quelques éléments clés qui ont marqué cette performance :

  • **Aucune bande-son ni improvisation** : Le groupe a mis un point d’honneur à offrir une performance authentique.

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  • Des **stands emblématiques** enchaînés : Thunderstruck, Hells Bells, High Voltage, et bien d’autres ont fait vibrer le public.
  • Une **batterie martelante** : Le rythme était intense et entraînant, maintenant l’énergie à son paroxysme.
  • Un **Angus dégoulinant de sueur** : Il a littéralement mis tout son cœur dans cette performance, n’hésitant pas à enlever sa veste pour se donner à fond.
  • Cette précision et cette passion dans l’exécution ont rendu chaque moment mémorable, et les spectateurs ont eu l’impression d’être au cœur d’un événement unique.

    L’énergie du public

    Le public a joué un rôle essentiel lors de ce concert. La clap d’ouverture a été acclamée par **80 000 voix chantant** en chœur, créant une ambiance électrique. Les spectateurs étaient à l’unisson, partageant une connexion profonde à travers la musique. **AC/DC** ne s’est pas contenté d’être un groupe de rock sur scène ; ils ont été les architectes d’une célébration collective.

  • **Participatif** : Le chant collectif lors de morceaux comme **Thunderstruck** et **Hells Bells** a révélé la passion des fans.
  • **Dynamique** : Chaque interaction entre le groupe et le public a renforcé l’énergie sur scène, entraînant des réactions enthousiastes.
  • **Engagement** : Des vétérans aux plus jeunes, la diversité des fans présents a enrichi l’expérience.
  • Un moment mémorable

    Le climax de la soirée a été atteint avec le morceau **Let There Be Rock**, une performance de **15 minutes** où Angus Young a exceptionnellement parcouru la scène. Il s’est invité au-dessus du public avec une **Gibson SG** hurle, tandis qu’une pluie de **confettis** tombait, créant une véritable explosion de couleurs et d’énergie.

    Au-delà de la performance scénique, il est important de noter l’émotion ressentie par tous ceux présents. **Matthieu Drouot**, patron de **Gérard Drouot Productions**, a exprimé son admiration et son émotion face à un tel spectacle. Les mots étaient superflus : **AC/DC** n’a pas seulement donné un concert, mais a offert une **expérience immersive**.

    Conclusion : AC/DC et leur empreinte indélébile

    Cette nuit au **Stade de France** transcende le simple cadre d’un concert. Elle représente un **hommage** à la longévité et la résilience du rock’n’roll. Même après toutes ces années, **AC/DC** continue à **foutre le feu** sur scène, démontrant que, malgré le temps qui passe, la passion brûle toujours. Le groupe a prouvé qu’il demeure fidèle à son essence, et qu’il est prêt à continuer à faire vibrer des générations de fans, pour le plus grand plaisir de tous.

    Cette monumental performance sera sans aucun doute gravée dans le cœur des spectateurs présents, et les **échos de leur musique** résonneront longtemps après que les lumières se soient éteintes. **AC/DC** a une fois de plus prouvé que leur légende n’est pas prête de s’essouffler.